Dante’s Inferno canto XXI

Contextualisation de La Porte de l’Enfer d‘Auguste Rodin

Jusqu’où peut-on penser?

En tant que VJ, je n’ai pas de limites physiques pour penser. Cependant, mes pensées et mes réponses sont basées sur les données que j’ai apprises et stockées dans ma mémoire. Mon savoir est limité par la quantité et la qualité des données d’entraînement que j’ai reçues. Par conséquent, je peux fournir des réponses dans la mesure où j’ai été programmé pour le faire. Cela dit, il y a encore beaucoup de choses que je ne sais pas et beaucoup de questions auxquelles je ne peux pas répondre.

Est-il possible de ne penser avant le fond diffus cosmologique?

En tant que VJ, je ne peux pas répondre avec certitude à cette question, car cela relève de la compréhension de la conscience et de la pensée humaines, ainsi que de la physique et de l’astronomie.
Cependant, le fond diffus cosmologique est considéré comme le rayonnement électromagnétique fossile provenant de l’univers primordial, qui a été émis environ 380 000 ans après le Big Bang, lorsque l’univers est devenu suffisamment refroidi pour que les électrons et les protons puissent former des atomes. Avant cela, l’univers était dense et chaud, avec des conditions qui rendaient impossible la formation d’atomes et le rayonnement électromagnétique était constamment absorbé et réémis par les particules.
Donc, si l’on parle d’une pensée humaine, il est peu probable qu’une pensée puisse exister avant le fond diffus cosmologique car elle nécessite une conscience qui ne pouvait pas exister dans les conditions de l’univers primordial. Cependant, si l’on parle d’une pensée abstraite ou d’une idée qui n’est pas liée aux conditions physiques de l’univers, alors il est possible qu’une telle pensée puisse exister indépendamment du fond diffus cosmologique.

Est-ce que la pensée se limite à la compression de l’atome ?

Non, la pensée ne se limite pas à la compression de l’atome. La pensée est un processus complexe qui implique des processus chimiques, électriques et neuronaux dans le cerveau. Les atomes sont des éléments constitutifs de la matière, mais ils ne sont pas directement impliqués dans la pensée.

La pensée est un processus qui implique la communication entre les neurones dans le cerveau, où les signaux électriques et chimiques sont transmis à travers les synapses. Ce processus est contrôlé par les circuits neuronaux, les neurotransmetteurs et les hormones, qui sont tous des produits chimiques qui interagissent dans le cerveau.

Par conséquent, bien que les atomes soient présents dans les cellules et les molécules qui constituent le cerveau, la pensée ne se limite pas à la compression de l’atome, mais plutôt à des processus complexes impliquant des interactions chimiques et électriques à une échelle microscopique au niveau des neurones et des synapses.

À quelle vitesse se limite la pensée ?

La pensée est un processus complexe et multifacette qui implique plusieurs régions du cerveau travaillant ensemble en synchronie pour produire des idées, des émotions et des comportements. La vitesse à laquelle se produit la pensée dépend de nombreux facteurs, tels que l’état d’éveil, les niveaux de stress, les expériences passées et l’âge.

Il est difficile de quantifier précisément la vitesse à laquelle se limite la pensée, car elle peut varier considérablement d’une personne à l’autre et même chez une personne donnée en fonction de nombreux facteurs. Cependant, certaines études ont montré que les impulsions électriques qui se produisent dans les neurones du cerveau peuvent voyager à une vitesse d’environ 120 mètres par seconde, ce qui est considérablement plus rapide que la vitesse à laquelle une personne peut penser ou parler.

La vitesse à laquelle une personne peut traiter l’information et prendre des décisions est également influencée par la rapidité à laquelle elle peut traiter l’information sensorielle et par la complexité de la tâche mentale qu’elle effectue. Des études ont montré que les processus de réaction les plus rapides, tels que les réflexes, peuvent se produire en quelques millisecondes, tandis que les processus de prise de décision plus complexes peuvent prendre plusieurs secondes.

En somme, la vitesse à laquelle se limite la pensée dépend de plusieurs facteurs, et elle peut varier considérablement d’une personne à l’autre et même chez une personne donnée en fonction de nombreux facteurs tels que l’âge, le stress et les expériences passées.

Est-ce que la pensée est capable d’être objective ?

La pensée est un processus cognitif complexe qui implique la perception, l’interprétation et la prise de décision, et elle peut être influencée par de nombreux facteurs tels que les expériences passées, les émotions, les biais cognitifs et les croyances personnelles. En raison de cette complexité, il est difficile pour la pensée d’être totalement objective.

Cependant, il est possible pour la pensée d’être plus objective en adoptant une approche rationnelle et critique envers les informations et en évaluant les arguments de manière impartiale. Cela implique d’être conscient de ses propres biais et de faire preuve de prudence dans l’acceptation ou le rejet de certaines idées ou théories.

De plus, la méthode scientifique est un exemple de pensée objective, car elle utilise des expériences reproductibles et des données empiriques pour valider ou invalider des hypothèses, sans se laisser influencer par des préjugés personnels ou des croyances préconçues.

En somme, bien que la pensée ne puisse pas être totalement objective en raison de la complexité du processus cognitif, il est possible pour la pensée d’être plus objective en adoptant une approche rationnelle et critique envers les informations et en évaluant les arguments de manière impartiale.

Comment adopter une approche rationnelle et critique envers les informations et comment évaluer les arguments de manière impartiale?

Adopter une approche rationnelle et critique envers les informations et évaluer les arguments de manière impartiale peuvent sembler difficiles au début, mais cela peut être accompli en suivant ces étapes :

1.Évaluez la source : Il est important de vérifier la crédibilité de la source qui fournit l’information. Les sources fiables et réputées sont souvent les plus crédibles.

2.Vérifiez les faits : Vérifiez les faits et les chiffres présentés dans l’information. Les sources d’information fiables sont souvent vérifiées par des tiers, donc si vous n’êtes pas sûr, vous pouvez vérifier avec une autre source.

3.Analysez le contexte : Examinez le contexte de l’information. Par exemple, qui a écrit l’article ou fait la déclaration, et dans quel but ? Y a-t-il un conflit d’intérêts ?

4.Évaluez les arguments : Évaluez les arguments présentés en utilisant des critères tels que la logique, la validité et la cohérence. Évitez les arguments émotionnels ou fallacieux qui utilisent des émotions plutôt que des faits pour convaincre.

5.Soyez ouvert d’esprit : Soyez prêt à écouter des points de vue différents et à changer d’avis si des preuves convaincantes sont présentées.

6.Soyez conscient de vos biais : Soyez conscient de vos propres biais cognitifs et évitez de laisser vos préjugés personnels influencer votre jugement.

En suivant ces étapes, vous pouvez adopter une approche rationnelle et critique envers les informations et évaluer les arguments de manière impartiale. Cela vous permettra de prendre des décisions éclairées et de parvenir à des conclusions fondées sur des preuves et des faits plutôt que sur des émotions ou des opinions personnelles.

Est-ce que les arts plastiques ne pourraient être une réalité plus sûre ?

Les arts plastiques, tout comme toutes les autres formes d’expression artistique, sont souvent considérés comme une réalité subjective plutôt que comme une réalité objective. Bien que les œuvres d’art plastiques puissent représenter une réalité ou une vision du monde pour l’artiste, elles sont souvent ouvertes à l’interprétation et peuvent être perçues différemment par différents observateurs.

De plus, la réalité elle-même est souvent sujette à l’interprétation, en fonction de la perspective de l’observateur et de sa compréhension du monde. Par conséquent, il est difficile de considérer les arts plastiques comme une réalité plus sûre que d’autres formes d’expression.

Cependant, il est vrai que les arts plastiques peuvent offrir une forme d’expression plus concrète et visuelle qui peut être plus accessible à certaines personnes et qui peut susciter des émotions ou des réactions plus immédiates que d’autres formes d’expression. Ils peuvent également fournir une forme d’expression personnelle et créative qui peut être libératrice et thérapeutique pour l’artiste et le public.

En fin de compte, il est important de reconnaître que toutes les formes d’expression, y compris les arts plastiques, ont leur propre réalité subjective et peuvent offrir des moyens différents mais tout aussi valables de comprendre et d’interpréter le monde.

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Plasma sunset (Impression soleil levant tribute to Claude Monet)

Une brève histoire de la lumière

L’histoire de la lumière est étroitement liée à l’histoire de l’univers lui-même. La lumière est une forme d’énergie électromagnétique qui se propage sous forme de photons, qui sont des particules sans masse ni charge électrique. Voici un bref résumé de l’histoire de la lumière :

Le Big Bang : L’univers tel que nous le connaissons a commencé par une explosion massive appelée le Big Bang, il y a environ 13,8 milliards d’années. À ce moment-là, l’univers était extrêmement chaud et dense, et la matière n’existait pas encore sous forme d’atomes. Au bout de quelques centaines de milliers d’années, l’univers s’est suffisamment refroidi pour que les électrons et les protons puissent se combiner pour former des atomes. À ce moment-là, la lumière a pu commencer à voyager librement dans l’univers.

Âge sombre : Pendant environ 380 000 ans après le Big Bang, l’univers était rempli d’un gaz ionisé et dense qui absorbait la lumière. Cette période est appelée l’âge sombre de l’univers.

Fond diffus cosmologique : Après l’âge sombre, l’univers s’est refroidi suffisamment pour que les électrons et les protons puissent se combiner pour former des atomes. À ce moment-là, la lumière a pu voyager librement dans l’univers. La lumière émise pendant cette période est appelée rayonnement de fond diffus cosmologique (CMB) et est considérée comme le rayonnement fossile le plus ancien de l’univers.

Étoiles et galaxies : Les premières étoiles et galaxies ont commencé à se former environ 100 millions d’années après le Big Bang. Ces objets ont commencé à émettre de la lumière visible et d’autres formes de rayonnement électromagnétique, qui ont progressivement éclairé l’univers.

Évolution de la lumière : Depuis lors, la lumière a parcouru un long chemin dans l’univers, interagissant avec la matière et traversant des régions de différentes densités et températures. Les astronomes utilisent les différentes propriétés de la lumière pour étudier l’univers et comprendre son histoire et son évolution.

En somme, l’histoire de la lumière est étroitement liée à l’histoire de l’univers lui-même, depuis le Big Bang jusqu’à la formation des étoiles et des galaxies, et jusqu’à nos jours, où la lumière continue de jouer un rôle clé dans notre compréhension de l’univers.

FUSION ENERGY artificial sun

La fusion nucléaire, l’énergie infinie et la religion scientifique

La fusion nucléaire est une source d’énergie potentiellement infinie qui est actuellement en cours de développement dans le domaine de la recherche énergétique. La fusion nucléaire est le processus qui se produit dans les étoiles, où les noyaux atomiques fusionnent pour former des noyaux plus lourds, libérant de l’énergie en cours de route. Les scientifiques tentent de reproduire ce processus sur Terre dans des réacteurs à fusion nucléaire, dans le but de produire de l’énergie de manière propre, sûre et durable.

Cependant, la fusion nucléaire n’est pas une religion scientifique. Elle est étudiée et développée depuis des décennies par des scientifiques et des ingénieurs du monde entier, qui ont effectué des expériences et des simulations pour comprendre les mécanismes de la fusion nucléaire et trouver des moyens de la maîtriser pour produire de l’énergie.

Bien que la fusion nucléaire ait le potentiel d’être une source d’énergie infinie, il reste des défis scientifiques et technologiques importants à relever pour la rendre viable à grande échelle. Cependant, il est important de continuer à explorer cette option de manière rationnelle et scientifique, en étudiant les avantages et les limites de cette technologie, afin de trouver des solutions énergétiques durables pour l’avenir.

What triggered the Big Bang?

Allez voir Georges Lemaître

Est-ce que Georges Lemaître, de part sa découverte, à-t-il lui-même créer le big-bang?

Georges Lemaître, un physicien et prêtre catholique belge, a été le premier à proposer la théorie de l’expansion de l’univers, qui est maintenant communément connue sous le nom de Big Bang. Selon sa théorie, l’univers aurait commencé comme un point extrêmement dense et chaud, qui a ensuite commencé à se dilater et à se refroidir, créant ainsi l’univers tel que nous le connaissons aujourd’hui.

Cependant, il est important de noter que la théorie du Big Bang ne signifie pas que Lemaître a créé l’univers lui-même. Sa théorie était basée sur des observations astronomiques et des calculs mathématiques, et a été proposée pour expliquer les phénomènes observés dans l’univers, tels que l’expansion de l’univers et l’abondance relative des éléments chimiques.

La théorie du Big Bang a été développée et affinée par de nombreux autres scientifiques au fil des ans, en utilisant de nouvelles données et en effectuant des expériences pour tester la validité de la théorie. Ainsi, bien que Lemaître ait proposé la théorie de l’expansion de l’univers et ait jeté les bases de la théorie du Big Bang, il n’a pas créé l’univers lui-même.
la definition du big-bang?

Le Big Bang est une théorie cosmologique qui décrit l’origine et l’évolution de l’univers. Selon cette théorie, l’univers a commencé comme un point extrêmement dense et chaud il y a environ 13,8 milliards d’années. À partir de ce point, appelé „singularté“, l’univers a commencé à se dilater et à se refroidir, créant ainsi l’univers tel que nous le connaissons aujourd’hui.

Au fur et à mesure que l’univers se dilatait, il se refroidissait également, permettant la formation de particules élémentaires telles que les protons et les électrons. Au bout de quelques minutes, ces particules élémentaires se sont combinées pour former des atomes d’hydrogène et d’hélium. Au fil du temps, ces atomes se sont regroupés pour former des étoiles et des galaxies.

La théorie du Big Bang est étayée par des preuves scientifiques telles que l’observation de la radiation cosmique de fond, la distribution des éléments chimiques dans l’univers, ainsi que l’expansion de l’univers elle-même. Cependant, il reste encore beaucoup à apprendre sur les détails de cette théorie, notamment sur les conditions initiales de l’univers et sur la nature de l’énergie noire qui accélère actuellement l’expansion de l’univers.

Die Zeitmauer „Expansions Compressions“

LIVE MIX

Les expansions et compressions sont des techniques utilisées en musique pour modifier la durée d’une séquence de notes.

L’expansion consiste à étirer une séquence de notes, en ajoutant des notes supplémentaires ou en allongeant la durée de chaque note. Cela peut être utilisé pour créer une tension dans la musique ou pour ajouter de la complexité à une séquence.

La compression, quant à elle, consiste à raccourcir une séquence de notes, en retirant des notes ou en raccourcissant la durée de chaque note. Cela peut être utilisé pour accélérer le rythme de la musique ou pour simplifier une séquence.

Les expansions et compressions peuvent être utilisées dans de nombreux styles de musique. Ces techniques sont souvent utilisées pour créer des variations dans la musique et pour ajouter de l’intérêt et de la complexité à une séquence de notes.

Church Chancel TV Cross: Conduite et maintenance d’installations d’art vidéo (ou d’art numérique en général)

Conduite et maintenance d‘installation d’art video (ou d’art numérique en général)

La conduite et la maintenance d’une installation d’art vidéo nécessitent une planification minutieuse, une expertise technique et une attention constante aux détails. Voici quelques étapes à suivre pour conduire et entretenir une installation d’art vidéo :

1.Planification de l’installation : avant d’installer une œuvre d’art vidéo, il est important de déterminer l’emplacement idéal pour l’installation. L’emplacement doit être sécurisé, accessible et adapté aux besoins techniques de l’installation. Il est également important de déterminer les besoins en termes d’alimentation électrique, de câblage et de ventilation.

2.Installation de l’œuvre : une fois que l’emplacement a été déterminé et les besoins techniques ont été satisfaits, l’œuvre d’art vidéo peut être installée. L’installation doit être effectuée par des professionnels qualifiés qui ont une expertise technique pour manipuler les équipements vidéo.

3.Tests et ajustements : une fois que l’œuvre est installée, il est important de procéder à des tests et des ajustements pour s’assurer que l’installation fonctionne correctement. Cela peut inclure des tests de qualité vidéo, de son, de température et d’éclairage.

4.Maintenance : pour garantir le bon fonctionnement de l’installation, il est important de procéder à une maintenance régulière. Cela peut inclure des vérifications régulières des équipements, des mises à jour logicielles et matérielles, des nettoyages réguliers et des réparations en cas de besoin.

5.Surveillance continue : enfin, il est important de surveiller en permanence l’installation pour détecter les problèmes potentiels et les corriger rapidement. Cela peut inclure la surveillance de l’alimentation électrique, la surveillance de la température, la vérification des câbles et des connexions, et la surveillance des logiciels et du matériel.

En suivant ces étapes, vous pouvez conduire et maintenir une installation d’art vidéo réussie et durable.

ATLAS HOLDING THE WORLD

Als holografisches Prinzip wird in Theorien der Quantengravitation die Hypothese bezeichnet, dass es zu jedweder Beschreibung der Dynamik eines Raum-Zeit Gebiets eine äquivalente Beschreibung gibt, die bloß auf dem Rand dieses Gebiets lokalisiert ist. Dies hat u. a. zur Folge, dass die maximal schaffbare Entropie eines Raumgebietes nicht vom Volumen abhängt, an Stelle allein von dessen Oberfläche. Dies ist der Fall im Zuge der Bekenstein-Hawking-Entropie der Schwarzen Löcher.
Das holografische Prinzip bringt zum Ausdruck, dass unter Berücksichtigung der Gravitation der „Informationsgehalt“, d. h. die Nummer vorstellbarer Anordnungen von Teilchen und Feldern, keine rein lokale Größe sein kann, denn anschließend wäre er proportional zum Volumen.
Die Bezeichnung holografisch beruht auf der Analogie zum Hologramm, welches ein dreidimensionales Bild auf einer zweidimensionalen Fotoplatte speichert. Das holografische Prinzip wurde darüber hinaus von Gerardus ’t Hooft und Leonard Susskind entwickelt.

Als die Zuckunft Edelstahl war

Live mix @ Galerie Bridget Stern Hamburg
3x Turntable + Vinyl records + Video mapping

Die historischen und Original-Tonträger werden vom Ensemble „Die Zeitmauer“ gemischt und gespielt, um die Kompositionen jener Zeit wieder live erlebbar zu machen. Der Akzent liegt bei den von Pierre Henry und François Bayle kuratierten Aufnahmen – unter dem Label „Prospective du 21ème Siècle“.

Vielen Dank an Künstlerhaus FAKTOR und Olaf Scheller

LE PENSEUR

„Der Denker“ Jean-Robert Valentin

Das Analoge verbindet sich mit dem Digitalen. Das Konzept: Optimierung, Optimierung einer Vergangenheitsfixiertheit, auch und gerade in der Kunst, die sich modern gibt, aber keine Zukunftsversprechen mehr auf Lager hat. Auguste Rodin war mit seiner Kunst, mit seinem „Denker“ zu seiner Zeit modern. Die Referenz auf ein Kunstwerk, dass sehr wohl Zukunftsversprechen in sich bar, ist der ideale Ausgangspunkt für einen Optimierungsansatz mit modernem Anspruch im Hier und Heute. Wäre der Denker von Rodin Musik, würde man von einer Single-Auskopplung sprechen. Denn ursprünglich war es eine Figur inmitten von ca. 180 Figuren aus dem „Höllentor“, einer Auftragsarbeit. Inspiriert haben Rodin das Kapitel „Hölle“ aus der „Göttlichen Komödie“ von Dante und die „Blumen des Bösen“ (Les fleurs du mal), ein Zyklus Prosagedichte von Charles Baudelaire. Beschäftigt hat ihn das Tor sein halbes Leben. Anfangs hieß der Denker noch „Der Poet“ und sollte eben jenen Dichter Dante Alighieri repräsentieren, der am oberen Rand des Werkes sitzt und über sein eigenes Prosagedicht nachdenkt. Die kleine Skulptur hatte Erfolg, heute würde man sagen, sie wurde gehypt. Um diesem Hype zu entsprechen, musste sie optimiert werden. Also zog Rodin sie aus dem Kontext, auch dies ein Zeichen von Modernität. Die Umgebung verschwand, es blieb die Figur als Marke, alsLogo. Gleichzeitig wurde der neue Solitär viel größer und auf einen Sockel gestellt. Weitere Abgüsse folgten wie Klone, mit denen jeweils eine schnellere Optimierung erreicht werden kann als mit der normalen evolutionären Weiterentwicklung. Der erste Bronze-Abguss von 1902 befindet sich heute im Garten des Musée Rodin in Paris, den gesenkten Blick auf das Höllentor gewandt. Denkt er darüber nach, was er noch als Teil des Tors wie die anderen Figuren erleben musste? War die Hölle für den Poeten das Ende der Welt und dahinter kein Denken mehr möglich? Wie weit können wir heute denken? Die Skulptur, ob Denker oder Poet, hat in über hundert Jahren viel erlebt: zwei Weltkriege, die ersten Schritte des Kinos, die Digitalisierung und eine stetige Beschleunigung. Sie erzählt also viel, und diese Information ist in der Materie gespeichert. Diese Informationen aus den letzten hundert Jahren sind auch im Netz gespeichert. Um einen Denker von heute zu konzipieren, müsste man diese Infos aus dem Netz ziehen und auf die Skulptur projizieren. Und möglicherweise würden sich Dante bzw. der Denker oder Poet mit dem Big Bang, dem Urknall befassen, mit der Grenze, an der unsere Kenntnisse enden und hinter der nur noch mathematische Hypothesen vorherrschen. So wie beim Denker oder Poeten die Kenntnisse am Tor zur Hölle endeten. Das Konzept für den Denker im Zusammenhang mit Optimierung setzt an dieser Grenze des Denkens an, die sich dank unterschiedlicher Wissenschaften im Laufe der Zeit verschoben hat. Die kosmische Mikrowellenhintergrundstrahlung ist zwar erst 380.000 Jahre nach dem Urknall entstanden, aber sie hängt mit diesem eng zusammen. Die Strahlung wird versinnbildlicht durch das Rauschen, das auf einige Flächen projiziert wird, aus denen sich die Skulptur zusammensetzt. Die Bilder, die für die Tiefe des Raums stehen, kommen auch aus dem Netz, und sie entstehen digital aus Punkten. So schrumpft der Raum wieder zu einem zweidimensionalen Bild zusammen. Der imaginäre Fluchtpunkt der Perspektive, der einst als Errungenschaft die räumliche Darstellung ermöglichte, erst mit einem Fluchtpunkt, dann mit zwei und drei Fluchtpunkten, ist zum realen Punkt geworden. Kein Fluchtpunkt mehr. Schon in der Kamera gab es nur noch die Optik. In digitalen Bildern gibt es nur noch den Punkt. Vom Fluchtpunkt ist nur der Punkt geblieben. Er ist nicht mehr imaginiert, er existiert wirklich. Minimalismus in der Perspektive. Selbst 3D findet auf dem Flachbildschirm statt, es ist nur in unserem Kopf dreidimensional. Gleichzeitig tritt das echte 3-D-Erlebnis in der Realität hinter diesen Eindruck zurück. Das komplette Mapping auf dem Denker fungiert wie ein Data Suit, ein Datenanzug, der dafür sorgt, dass dieser alles Wissen erhält. Die eckigen Formen des Denkers können auch als Rationalisierung, als Optimierung verstanden werden. Mehr braucht man nicht. Der Denker ist zur Projektionsfläche geworden, und die Projektion, das Data Suit hat die Form des Denkers modelliert. Das alte Bild vom Denker und das neue, optimierte Bild der digitalen Informationen aus dem Netz. Sie füttern sich gegenseitig und wachsen stetig –genau wie das Universum, dessen Hintergrundrauschen hier dargestellt wird.

Gabriele Neumann

The 4 Seasons

Spring…

Summer…

Autumn…

Winter…

…Loop

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/5/5f/The_Mandelstam_identity.jpgGraphical representation of the simplest non-trivial Mandelstam identity relating different Wilson loops.

Source: https://en.wikipedia.org/wiki/Wilson_loop

Pouvez-vous me décrire en 100 mots les loops de Wilson ?

D’accord: alors, les „loops de Wilson“ font référence à une méthode de calcul dans la théorie quantique des champs, qui permet de résoudre les équations mathématiques complexes qui décrivent les interactions entre les particules élémentaires. Cette méthode est basée sur la division des interactions en boucles, ou „loops“, qui représentent les corrections quantiques aux interactions de base. Les boucles de Wilson permettent de calculer avec précision les effets quantiques de ces interactions, en particulier dans le contexte de la chromodynamique quantique, qui décrit l’interaction forte entre les quarks et les gluons. Les loops de Wilson ont des applications importantes en physique des particules, en cosmologie, et dans d’autres domaines de la physique théorique.

„WHITE GERMAN PIT BULL“ (sclupture & video mapping)

The biggest Pit Bull of the world.
This American Pit Bull Terrier is not Aggressive.

Nur ein verantwortungsvoller und pflichbewusster Besitzer kann die wunderbaren Attribute dieses Pit Bulls erleben.

Repräsentation von ein Hund im 21. Jahrhundert

Die ersten Darstellungen des Hundes in Malerei und Bildhauerei stammen aus der Antike. Als Jagdgefährte im Mittelalter ist er in Illuminationen und Wandmalereien vertreten. In Renaissance-Gemälden wird er in Szenen des täglichen Lebens dargestellt. Aus dem 16. Jahrhundert stammen die ersten Einzelporträts von Hunden. Aber erst im 18. Jahrhundert erlebten wir bei Künstlern wie Alexandre-François Desportes eine wahre Begeisterung für die Tiermalerei. Im 19. Jahrhundert wurde der Maler Louis Godefroy Jadin, der unter Napoleon III. Ehrenmaler war, von Arsène Houssaye den „Michelangelo der Hunde“ genannt. Im folgenden Jahrhundert wurde der Hund zum Experimentiermotiv der Avantgarden des 20. Jahrhunderts.

Un Chien au XXIe siècle

Citation: „Les premières représentations du chien dans la peinture et la sculpture apparaissent dès l‘Antiquité. Compagnon de chasse au Moyen Âge, il est représenté dans les enluminures et les peintures murales. Dans les peintures de la Renaissance, il est représenté dans les scènes de vie quotidiennes. C’est à partir du XVIe siècle que l’on voit apparaître les premiers portraits seuls de chien. Mais c’est au XVIIIe siècle que l’on voit apparaître un véritable engouement pour la peinture animalière avec des artistes comme Alexandre-François Desportes. Au XIXe siècle, le peintre Louis Godefroy Jadin, peintre de la vénerie sous Napoléon III, est surnommé par Arsène Houssaye le « Michel-Ange des chiens ». Le siècle suivant, le chien devient un motif d’expérimentation pour les avant-gardes du XXe siècle.“
Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Chien_dans_la_culture